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La phase finale de la Copa Coca-Cola se déroulera dimanche 9 octobre. Deux clubs méditerranéens, qualifiés au terme de la phase régionale, seront en lice.

Effectué par Laura Georges, Secrétaire Générale de la FFF, et Philippe Couchoux, Président de la Commission Fédérale du Futsal, le tirage a livré les affiches qui se joueront lors de cette finale prévue au stade Pierre-de-Coubertin de Paris le dimanche 9 octobre (de 8h30 à 20h00, finales à partir de 17h00).

Compte instagram officiel de l’événement pour suivre la finale tout au long de la journée : @copacocacolafr

Tournoi féminin : Le représentant méditerranéen, FC Rousset, qualifié à l’issue de la phase régionale disputée à Aix-en-Provence, a été affecté au Groupe D en compagnie de Féminines Esprit Club Bastiais (Corse) et Chassieu Décines FC (Auvergne-Rhône-Alpes).

Tournoi masculin : Le représentant méditerranéen, SC Mandelieu, qualifié au terme de la phase régionale, est placé dans la Poule C aux côtés de Plaisance Pibrac Futsal (Occitanie) et Montbéliard Belfort Futsal Club (Bourgogne-Franche-Comté).

Bonne compétition à nos deux clubs !

Une réunion d’informations et de formation sur l’Observatoire des Comportements s’est tenue au siège de la Ligue à Aix-en-Provence. 

La réunion a permis de rassembler les référents des Commissions Départementales des Actions Citoyennes et Sociales, le Président de la Commission Régionale, Mourath NDaw, Noël Mannino, Secrétaire Général de la Ligue, et les membres du service Compétitions LMF, en présence de Pierre Guibert (Secrétaire Général de la LFA) et Matthieu Robert, chargé de mission FFF sur ces thématiques. Une première en Méditerranée qui entre parfaitement dans la volonté de la Ligue de travailler de concert avec les Districts. 

« Nous avons évoqué l’utilisation de l’Observatoire, outil de saisie des incidents en compétitions, précise Pierre Guibert, particulièrement sensibilisé sur le thème de la violence dans les stades. Les référents récupèrent les dossiers disciplinaires des Commissions de Discipline et saisissent les incidents dans l’outil, selon les items prévus (coups, crachats, échauffourées, envahissement du terrain…). Nous avons ainsi, ensuite, une vision globale sur nos compétitions en Districts et en Ligue ».

Ce qui permet notamment d’identifier les matches à risques, par exemple un match retour après un aller marqué par des incidents, ce qui entraîne la classification « match protégé », une alerte des autorités, et des désignations d’officiels plus aguerris ou plus nombreux. Ce qui induit également et surtout de la prévention et des actions de citoyenneté à mener dans les clubs où se déroulent des incidents récurrents.

« La Méditerranée est globalement bien positionnée pour ses compétitions. Il n’y a pas plus de violence ou d’incivilités qu’ailleurs. Certes nous avons connu une recrudescence en début de saison, comme partout, liée à la reprise après deux années de covid-19. Certains ont considéré le sport comme un exutoire mais c’est rentré dans l’ordre et on est revenu à des chiffres d’avant-épidémie, même si demeurent ça et là quelques problèmes. Globalement, nous recensons 1,8% de matches à incidents. C’est peu mais il faut rester vigilants. »

Dans cette optique, le groupe de travail sera amené à se réunir à chaque début de saison pour faire un point, harmoniser les procédures, travailler et proposer des améliorations sur la saisie et le fonctionnement de cet Observatoire des Comportements.