« UN MATCH TRÈS INTÉRESSANT À MARSEILLE ! »

Internationale tricolore de 2005 à 2017, Elodie Thomis (141 sélections) vous invite à venir nombreux à Marseille pour assister à France-Italie (samedi 20 janvier à 21h00 au stade Orange Vélodrome).
LIGUE MEDITERRANEE DE FOOTBALL
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Internationale tricolore de 2005 à 2017, Elodie Thomis (141 sélections) vous invite à venir nombreux à Marseille pour assister à France-Italie (samedi 20 janvier à 21h00 au stade Orange Vélodrome).
Dans le cadre du prochain France-Italie Féminines (samedi 20 janvier à Marseille), la parole est donnée à des Femmes de Foot licenciées de tous horizons. Sixième volet avec Claire Chambon.
Elle veille sur le développement du football féminin la semaine et garde des buts le week-end. Entre un stage CFF1 pour lequel elle intervient en tant que formatrice et son départ pour la Loire dans le cadre d’un 32ème de finale de la Coupe de France féminine, la CDFA* du District du Grand Vaucluse a accepté d’évoquer sa passion.
Quand êtes-vous tombée dans la marmite foot ?
Toute petite. J’avais un papa qui était à l’époque président d’un petit club dans le nord Vaucluse et logiquement, j’ai tout de suite baigné dans le football. Paradoxalement, j’ai commencé à jouer assez tard, pas avant dix ans, notamment en raison de la petite réticence de ma maman, due aux préjugés classiques de l’époque. Mais de fait, j’ai toujours eu un ballon dans les pieds. Comme beaucoup, j’ai commencé avec les garçons jusqu’à mes 14 ans. Âge auquel je suis parti à Orange pour évoluer avec les féminines. Et par la suite à Monteux, à 17 ans.
Du foot depuis toute jeune donc, au point d’en faire un métier !
Exactement ! Cela part d’un coup de fil de l’US Thoroise, il y a quelques années, qui souhaitait développer la pratique féminine. Le projet m’a plu, j’ai donc signé dans ce club dans le cadre d’un contrat aidé, ce qui m’a également permis de passer mes diplômes jusqu’au BE (Brevet d’Etat) et d’être embauchée comme agent de développement.
Vous êtes aujourd’hui CDFA* au sein du District du Grand Vaucluse. En quelques mots, en quoi consiste cette fonction ?
C’est au quotidien la gestion du football d’animation, qui concerne les catégories U6 à U13, et celle du développement du football féminin avec par exemple, comme c’est le cas en ce moment, la formation des éducateurs. Sans oublier les pratiques diversifiées comme le Futsal ou bien encore les Sections Sportives, le domaine éducatif et social restant des vecteurs primordiaux chez les jeunes.
Claire CHAMBON
Votre activité vous permet d’avoir une vision privilégiée sur l’évolution de la pratique féminine. Quel regard portez-vous justement sur cette mutation ?
L’évolution est indéniablement positive, aucun doute là-dessus. Pour autant, je trouve que nous ne sommes pas encore assez représentées, notamment dans les fonctions à responsabilités, que ce soit au sein des instances ou sur les terrains. Il y a encore du chemin à parcourir. Après, les changements de mentalités sont avérés. Joueuses ou coaches, la présence des femmes dans le foot ne pose plus aucun problème.
Quelles sont vos ambitions professionnelles à terme ?
Aujourd’hui, je suis complètement épanouie dans mon travail. Je ne me vois pas œuvrer dans un autre domaine. Ma priorité est de faire avancer les choses au niveau départemental, dans mon district. Ensuite, pourquoi ne pas envisager de franchir un échelon supplémentaire, par exemple au niveau de la Ligue. Mais quoi qu’il en soit, pour le moment, il y en a encore énormément de chemin à faire ici et ça me tient à cœur de faire bouger les choses chez moi.
France-Italie approche à grands pas, sentez-vous l’engouement qui gravite autour de ce rendez-vous ?
Dans le milieu féminin, c’est un évènement à part entière ! Indéniablement. Nous avons énormément de demandes sur les conditions d’organisation, de déplacement et à titre personnel, j’ai été très sollicitée pour les demandes de places. Il existe une réelle volonté de voir ce match et de participer à cette fête, car cela reste avant tout une fête pour le foot méditerranéen. Et puis le choix de la date – un samedi soir – et du stade – enceinte mythique – donne d’autant plus de valeur à cette rencontre. Côté masculin, on sent aussi que ça commence à en parler. Les clubs se mobilisent, il y aura du monde. Le foot méditerranéen et le foot féminin seront les deux grands gagnants. Il faut montrer que nous sommes capables d’organiser des évènements internationaux, à la hauteur de notre réputation.
Un dernier mot sur votre actualité avec la Coupe de France féminine. Votre club du FCF Monteux dispute ce dimanche un 32ème de finale à Montrond (Loire) !
Comme tout le monde, nous voulions tirer un gros à la maison donc nous étions un peu déçues du tirage. Maintenant, face au Petit Poucet de notre groupe, nous avons nos chances et je dis cela avec beaucoup d’humilité.
Accéder aux 16èmes de finale serait-il historique pour Monteux ?
Non car il y a 18 ans de cela, je m’en souviens car j’y étais, nous avions atteint ces 16èmes en battant Montpellier qui était la locomotive du foot féminin de l’époque, bien avant l’éclosion de l’OL et du PSG notamment. Mais pour être honnête, et même si c’est une belle aventure, ce n’est pas notre objectif ! Nous sommes actuellement le leader en championnat (DH) et la véritable aspiration du club reste l’accession à la D2.
(* Conseillère Départementale Football Animation)
Rendez-vous à Marseille le 20 janvier 2018 :
C’est la reprise pour quelques compétitions nationales et régionales. Le championnat Futsal DH est le premier à reprendre ce samedi (11ème journée) avec le championnat Féminines U17 Ligue (7ème journée).
A suivre dimanche, les 32èmes de finale de la Coupe de France et de la Coupe de France Féminine, et la 9ème journée U19 DH et DHR. A noter également la programmation de matches en retard. A découvrir le programme sur le sol méditerranéen :
L’arbitre méditerranéen, promu International, a reçu son écusson FIFA des mains du Président Eric Borghini lors d’une cérémonie conviviale organisée au siège de la Ligue, en présence de ses amis et de nombreuses personnalités, dont Hervé Liberman, Président du CROS, Pierre Guibert (LFA), et quelques membres du Comité de Direction de la LMF.
Le Président de la Ligue et de la Commission Fédérale des Arbitres, Eric Borghini, a ouvert la soirée en retraçant les grandes lignes de sa carrière, du niveau District au niveau international.
« J’ai connu Karim, originaire de Brignoles (Var), un après-midi pluvieux d’automne 2013 à Saint-Jean Cap Ferrat en Coupe de France. J’ai alors découvert, émerveillé, un arbitre de Ligue magique. Agent de sécurité, pompier volontaire notamment, il s’est forgé une belle personnalité et a gravi un à un les échelons de l’arbitrage avec une régularité étonnante. Anecdote amusante, lorsque Claude Colombo l’avait observé lors d’un match au Cannet-Rocheville face à l’AS Aixoise, il avait fait l’avion les bras écartés pour désigner le point de penalty. Les défauts de la jeunesse, il venait tout juste d’avoir 20 ans ! Depuis, Karim a fait son chemin et quel chemin !
Cet écusson FIFA n’est pas un aboutissement mais un commencement. Tout reste à construire. Karim, tu as une position nationale affirmée en Ligue 1. Il te reste désormais à conquérir le monde à l’instar de Clément Turpin, Nicolas Rainville, Benoît Bastien, Ruddy Buquet et des jeunes comme François Letexier et Jérôme Brisard.
En conclusion, ton arbitrage, fait d’une alchimie à la puissance évocatrice, se transmute en une création originale à chacune de tes prestations : précision du geste, franchise de l’allure, droiture de la posture, rectitude de la pensée du cœur au service d’une noble cause. Voilà ce qui me frappe et m’émeut. Oui Karim, que tu siffles un coup franc ou un penalty, que tu prononces un avertissement ou une exclusion, que tu ébauches un geste ou esquisses une course, ton arbitrage est jaillissement et fluidité. Tu es aussi naturellement arbitre que Mozart est musicien ou que Raphaël est peintre. Tu es pour moi une grande fierté mais il te reste tout à construire pour avoir le palmarès que tu mérites. Alors, continue à travailler et à écouter les conseils avisés de ceux qui t’aiment. »
« Des stylos ont volé »
Des propos qui sont allés droit au cœur du néo-international amené à conclure cette cérémonie de remise : « Je vous remercie pour votre présence. Je suis touché de voir toutes ces personnes qui m’ont accompagné tout au long de mon parcours. Je n’oublie pas que j’ai débuté à l’âge de 15 ans et je ne pensais pas aller si loin. Je sais que j’ai fait passer des moments difficiles à mes formateurs. Pour la petite histoire, des stylos ont volé lors des sessions de formation. Frédéric Florio m’a parfois réveillé en téléphonant à 1 heure du matin : « Cite moi la Loi 4 ». Le plus souvent j’étais confus et à côté de la plaque. Mais grâce à eux, je me suis accroché, j’ai travaillé et progressé pour en arriver là. Je tiens à remercier particulièrement le Président Eric Borghini qui m’envoie toujours un petit mot avant les rencontres. Je remercie aussi Claude Colombo. Quand je ne suis pas bien, quand j’ai pris une mauvaise décision qui a eu une incidence sur le résultat du match, je sais que je peux lui passer un coup de fil. Je suis très ému d’avoir reçu ce soir mon badge FIFA, d’autant que cette remise a eu lieu au siège de la Ligue, chez moi en Méditerranée. Merci à toutes et à tous. »
l’eCOPA Coca-Cola est lancée avec le soutien de la Fédération Française de Football. Ce tournoi eSport propose à tous les fans de football et de jeux vidéo de jouer en portant les couleurs de l’un des 16 000 clubs français.
L’eCopa Coca-Cola est le premier tournoi international d’eSport organisé par une marque, qui permet de se qualifier pour les EA SPORTS FIFA 18 Global Series et le Road to the FIFA eWorld Cup 2018, tournois majeurs de l’eSport.
À l’occasion de la Paris Games Week by Coca-Cola, la FFF s’est associée à Coca-Cola pour permettre la création de cette nouvelle compétition nationale d’eSport.
Les vainqueurs de chaque eCOPA Coca-Cola nationale s’affronteront dans une finale internationale, l’eCOPA Coca-Cola Champions Final, dont le grand vainqueur sera qualifié pour les play-offs EA SPORTS FIFA 18 Global Series.
En France, chacun pourra défendre les couleurs du club de sa ville
Grâce au soutien de la FFF, les joueurs pourront représenter le club de football de leur ville, parmi une liste de plus de 16 000 clubs affiliés FFF. Les vainqueurs des finales régionales pourront faire gagner à leur club des dotations exclusives. Rendez-vous sur www.ecopacocacola.fr
Comment ça marche ?
En France, les joueurs inscrits devront d’abord passer une phase de qualifications en ligne. Pendant trois mois, ils s’opposeront dans des matchs un contre un, pour tenter de gagner leur place dans les finales régionales. Les joueurs qui auront atteint cette étape affronteront ensuite les joueurs professionnels issus des clubs d’eSport de Ligue 1 et de Ligue 2. Ces finales régionales se dérouleront en février 2018, en région parisienne, dans le Sud-Ouest, le Nord-Ouest, le Nord-Est, le Sud-Est et les DOM, et seront diffusées et commentées en live sur Twitch.
En avril 2018, il ne restera plus que vingt-quatre concurrents, qui s’affronteront à l’occasion d’une grande finale nationale à Paris pour tenter de devenir le premier champion français de l’eCOPA Coca-Cola. Les joueurs souhaitant participer au tournoi français sont invités à s’inscrire en ligne sur www.ecopacocacola.fr avant le 28 février 2018. Plus de 147 000 places sont disponibles.
Promu au rang d’International depuis le 1er janvier, l’arbitre varois Karim Abed recevra son badge FIFA, le jeudi 4 janvier (18h30) au siège de la Ligue à Aix-en-Provence, des mains d’Eric Borghini, Président de la Ligue et de la Commission Fédérale des Arbitres. Retour sur son parcours à la trajectoire fulgurante.
Quelles ont été les grandes étapes de votre carrière ?
J’ai commencé au niveau District et évolué trois saisons à l’échelle départementale puis j’ai gravi un échelon pour passer au niveau régional et officier en DH et DHR en Ligue, en suivant les différentes étapes (filière…).
Vous avez ensuite logiquement tenté de rejoindre le niveau fédéral ?
Effectivement mais cela s’est mal passé la 1ère année puisque j’ai échoué. Je ne me suis pas découragé et j’ai présenté ma candidature l’année suivante avec, cette fois, la réussite aux examens et le bonheur de terminer major de ma promotion. L’échec a forgé mon caractère et je suis sorti plus fort. De même, les matches difficiles de Division d’Honneur en Méditerranée m’ont permis de m’aguerrir et d’engranger de l’expérience.
Depuis quand êtes-vous Fédéral 1 ?
J’ai bénéficié du système de promotion accélérée et suis monté en quatre ans de la DH à la Ligue 1 en passant par le CFA-CFA2, le National et la Ligue 2 en peu de temps. Les « passerelles » mises en place par la Direction Technique de l’Arbitrage permettent en effet aux « jeunes talents » de monter à l’échelon supérieur en cours de saison. J’ai ainsi accédé au titre de Fédéral 1 en juillet 2016 et aujourd’hui je comptabilise de nombreux matches en L1. Un monde que j’ai au préalable côtoyé en étant quelquefois 4ème officiel. J’ai également eu le bonheur de faire partie de l’équipe arbitrale en tant que 4ème arbitre, lors de la dernière finale de Coupe de France entre Paris SG et Angers.
Quelles sont les grandes différences entre l’arbitrage en District et au plus haut niveau ?
La psychologie du match est sensiblement la même, le terrain et les règles sont bien évidemment identiques. Ce qui change, c’est essentiellement l’environnement, les stades et le public. Le jeu va plus vite aussi et nécessite une condition physique adaptée. La préparation, le suivi, la récupération, la vidéo et les débriefings sont différents, d’autant que je fais partie du corps des arbitres « élite ». Mais sur le fond, on doit toujours bien se préparer, chercher à progresser et ne rien lâcher.
Un conseil pour les arbitres de Ligue qui rêvent d’accéder au niveau fédéral ?
Je leur dis surtout de rester eux-mêmes, de continuer à faire ce qu’ils aiment, quelles que soient les difficultés, et de prendre du plaisir sur les terrains.
STATISTIQUES (arbitre central) :
CFA2 : 15 matches
CFA : 9 matches
National : 11 matches
Ligue 2 : 22 matches
Ligue 1 : 31 matches
Le CoSMoS (Conseil Social du Mouvement Sportif) est une organisation patronale d’employeurs dans la branche du Sport, et au sein de laquelle la FFF dispose d’un siège.
Le but est de permettre une meilleure représentation du football au sein de la branche du sport. Cet objectif ne peut être atteint sans une adhésion massive des clubs.
L’adhésion au CoSMoS permet aux clubs d’être informés, conseillés et accompagnés dans l’ensemble de leurs démarches d’employeur. L’adhésion leur permet également d’accéder à des formations adaptées à titre préférentiel. Adhérer au CoSMoS, c’est aussi la possibilité de se faire entendre auprès des pouvoirs publics.
C’est pourquoi, la F.F.F renouvelle son offre d’adhésion gratuite à destination des clubs. Au même titre que les années précédentes, les clubs n’auront aucun fonds à avancer.
Nous vous invitons par conséquent à leur transmettre le lien suivant:
http://cosmos.asso.fr/adherer/890
Après avoir complété le formulaire les clubs devront choisir le mode de paiement par chèque. Ce dernier sera adressé directement par la F.F.F. au CoSMoS.
Pour toute information complémentaire, n’hésitez pas à contacter la Hotline de la FFF au :
01 44 31 73 83 ou par mail à hotline-rh@fff.fr
Une formation CFF3 est prévue du 30 Janvier au 02 Février 2018 au Centre Regain de SAINTE TULLE (04).
Nous vous informons que les mots de passe des utilisateurs Footclubs ayant des accès FMI sont arrivés à expiration le 31 décembre 2017.
Les utilisateurs concernés sont donc invités à modifier leur mot de passe à partir du 1er janvier 2018.
Cette action peut être réalisée directement depuis Footclubs lors de la connexion de l’utilisateur ou via la rubrique assistance de la FMI accessible via cette URL : https://fmi.fff.fr/assistance/
Nous vous remercions de bien vouloir transmettre cette information à tous vos utilisateurs.
Une convention de partenariat a été signée entre la Ligue contre le cancer – comité des Alpes-Maritimes et le District de Côte d’Azur dirigés respectivement par Pierre Cambreal et Edouard Delamotte, en présence notamment d’Eric Borghini, Président de la Ligue Méditerranée, de Gilles Veissière, adjoint aux sports de la Ville de Nice, et Claude Colombo, vice-Président du District.
Les deux instances signataires unissent ainsi leurs efforts afin, d’une part, de mener des actions communes en matière de prévention et de promotion des dépistages des cancers. Et d’autre part, de créer des espaces sans tabac, labellisés par la L.C.C 06, dans les enceintes sportives au cours des rencontres de football.
La L.C.C 06 s’engage à organiser des actions en faveur de la santé lors des manifestations sportives de grande envergure, à travers par exemple la mise en place de « villages santé ».
Le District s’engage notamment à entamer, suivre et accompagner l’ensemble des actions entreprises auprès des propriétaires des installations sportives de football, en vue de faire de ces lieux des espaces sans tabac.
La collaboration officiellement créée par la signature de cette convention est une excellente nouvelle pour tous les acteurs du football azuréens. Le District se félicite de la dynamique engagée et invite les clubs du département à le suivre dans cette nouvelle voie.
Pour en savoir plus :